Le 15 août, Lawrence MacAulay a annoncé que l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) dirigera deux projets d’une valeur de 500 000 $ qui feront appel à de nouvelles technologies de l’ADN pour réduire les périodes d’essai  en quarantaine, afin de protéger l’industrie canadienne des fruits contre les virus et pour stimuler le commerce et la compétitivité économique de l’industrie canadienne des plantes fruitières, une industrie de 240 millions de dollars.

Le premier projet réduira considérablement la durée des essais sur les semences, les boutures et les bulbes importés au Canada pour la culture de nouvelles variétés de plantes. Grâce à ces fonds, les scientifiques auront recours à la technologie de l’ADN pour analyser la génétique de tous les virus associés aux végétaux importés afin d’obtenir une indication précoce de la présence de phytovirus. Cette approche pourrait réduire de deux ans et demi le temps de quarantaine des nouvelles plantes.

Le deuxième projet simplifiera l’analyse des plantes de fraisiers. Normalement, de nombreux essais sur des virus sont nécessaires avant d’exporter les plantes de fraisiers vers marchés étrangers. Ce projet fera l’analyse d’une multitude de phytovirus au moyen d’un seul essai,  réduisant ainsi le temps et le coût de mise en marché des plantes.

Le Conseil canadien de l’horticulture accueille cette annonce favorablement étant donné que nos membres revendiquent un programme de plantes propres. Nous avons hâte de voir la façon dont ces projets vont augmenter les possibilités commerciales pour nos membres.

Pour de plus amples informations, visitez le https://www.canada.ca/en/food-inspection-agency/news/2017/08/new_dna-based_projectstoboostfruitplanttrade.html ou communiquez avec Jennifer Babcock à .